lieu Pointel
maîtrise d’ouvrage MFR de Pointel
maîtrise d’œuvre Gil Dauchez, architecte
La déclivité du terrain a permis de construire un bâtiment de deux étages accessibles de plain-pied à chaque niveau, solution qui permet de s’affranchir d’un ascenseur. Compte-tenu des valeurs de la MFR et de l’école forestière, le bois se devait d’être le matériau essentiel : utilisé en structure, dans les différentes expressions des façades, en élément de décoration intérieure. La façade principale devient vivante grâce au surbardage de planches brutes de sciage, qui lui donne une forte identité. La performance énergétique repose sur une chaudière bois, une enveloppe performante et des panneaux solaires thermiques produisant l’eau chaude.
LE JURY A AIMÉ :
›le choix du bois et sa mise en œuvre
lieu Alençon
maîtrise d’ouvrage Ville d’Alençon
maîtrise d’œuvre Atelier Philippe Challes
photos © PatrickHMüller
Dans un quartier des années 60, l’école ressemblait plus à des logements qu’à un équipement public. Le bâtiment de quatre étages présentait un volume disproportionné au regard de la taille d’un écolier. Le parti pris a été radical : tailler dans la masse, raser un étage, percer généreusement la façade et redessiner l’ensemble grâce à deux extensions à angle droit du bâtiment, faisant ainsi émerger une cour protégée. L’école a été conçue selon les principes de l’architecture bioclimatique : volumes compacts, façades ouvertes au Sud, regroupement des fonctions de service au Nord.
LE JURY A AIMÉ :
›l’intégration du bâtiment au quartier, à la rue
lieu Alençon
maîtrise d’ouvrage Conseil Réginal de Basse-Normandie
maîtrise d’œuvre ACAU, architectes
Le projet, associé à la construction de cinq logments de fonction, participe à la création d’une véritable séquence d’accueil du lycée Mézen. La démolition du bâtiment d’internat a permis de dégager une vaste esplanade ouverte sur le paysage proche du lycée. Et, le nouveau bâtiment d’administration implanté sur rue devient un élément à part entière de ce paysage. Les portes et les fenêtres ne se distinguent pas et une trame continue de baies en constant dialogue entre l’intérieur et l’extérieur s’impose à la lecture du bâtiment.
LE JURY A AIMÉ :
›la qualité plastique du bâtiment
›ET À L’ENSEIGNEMENT
